Même si leur formation est généraliste, les coachs ont la plupart du temps des thématiques préférées.
Un coach professionnel peut accompagner toutes les thématiques et tous les objectifs
[et par définition n'a pas à avoir vécu ce que vit le client]
Les formations de coach (je parle des formations RNCP, c’est-à-dire reconnues par l’état) permettent d’accompagner toutes les problématiques : et pour cause, en coaching on estime que le client possède toutes les ressources pour résoudre son problème ou atteindre son objectif, le coach et ses questions servent à retrouver ces ressources, les mettre en lumière, les développer.
Le coach ne donne pas de conseil, il n’est pas expert de la situation que vit le client ; il est expert en revanche de la méthode et du processus qui permettront au client d’avancer, de voir sa problématique autrement, de lever des croyances et des blocages, de mobiliser les ressources internes et externes.
En aucune manière, le coach n’a à connaître le milieu, la situation vécue, la problématique, ni même la thématique que le client amène, et dont on estime, en coaching, qu’il est expert : le coach est expert de la méthode et du processus, le client de sa vie.
[mais il a des préférences]
En revanche, il y a des thématiques, des problématiques, que, en tant que coach, nous pouvons préférer. De part notre histoire personnelle parfois, de part notre sensibilité, nos valeurs, nos envies.
Tout en se gardant toujours de toutes les projections que l’on pourrait faire (merci à nos superviseurs, dont on ne répétera jamais assez l’importance).
Ainsi, certains coachs vont préférer la recherche d’emploi et les repositionnements professionnels, d’autres la gestion du temps et l’organisation, d’autres encore le développement de l’entreprise et l’accroissement de leur productivité, etc…
Ce que je préfère
[accompagner sur la personne]
Pour ma part, j’aime accompagner sur les thématiques liées à la personne et/ou aux relations interpersonnelles (on appelle ainsi les relations aux autres) : ainsi, tout ce qui concerne l’estime de soi (pour se donner les moyens de vivre ce qui nous fait envie), la confiance en soi (pour oser et essayer), l’amour de soi (pour s’apporter ce dont on a besoin), l’image de soi (pour accorder moins d’importance au regard des autres), la gestion des émotions (pour se sentir en harmonie avec soi-même), la gestion des besoins (pour y répondre soi-même), la connaissance de soi (pour agir en fonction), la vision que l’on a de soi, des autres, du monde, de la vie (pour chausser des lunettes qui rendent heureux), le sens de ce que l’on fait (pour retrouver le plaisir de se lever le matin), les multiples peurs que l’on peut avoir (dont celle de l’échec, mais pas seulement)…
[accompagner sur les relations]
Et tout ce qui concerne la relation aux autres : ce que l’on cherche dans une relation (comment satisfaire nos besoins relationnels ?), la manière dont on voit l’autre (avec nos jugements, nos suppositions, nos interprétations, qui faussent toute la relation sans que l’on ne s’en rende compte), l’amour (dans le couple, mais pas seulement), ce que l’on y vit malgré nous (la peur du regard des autres, les difficultés à dire non, à s’affirmer), ce que l’on a envie d’y vivre (dépendant de chacun), le positionnement que l’on prend dans les relations (comment me vois-je par rapport aux autres), ainsi que les peurs que l’on peut avoir (l’autre représente-t-il un danger pour moi ?), etc…
[accompagner le couple]
Et, toujours dans la relation aux autres, celle du couple : ce qu’on vient y chercher (à comparer à ce que l’on y apporte), ce que l’on souhaite y trouver (et comment le rendre compatible avec ce que l’autre souhaite de son côté), nos besoins individuels et mutuels (et comment concilier tout cela de la manière la plus harmonieuse et agréable pour tous), la communication (comment demander sans exiger, comment s’exprimer sans attaquer, comment écouter – il y a tant à dire sur le sujet), etc…
[en environnement professionnel]
Et enfin, en environnement professionnel, sur des thématiques liées à la personne toujours : le sens de ce que l’on fait ou de ce que l’on a créé, le positionnement par rapport aux équipes, les relations que l’on tisse et qui impactent le fonctionnement global, notre manière de communiquer, etc…
A prendre en compte aussi
[la formation, la déontologie, et l'alliance dite thérapeutique]
A côté de cela, pour choisir un coach, entrent aussi en ligne de compte d’autres éléments : notamment sa formation (je n’insisterai jamais assez : être coach ne s’improvise pas, cela s’apprend), son éthique, son approche, et l’alliance qui doit s’établir dès la première séance.
[pour en savoir plus]
Pour en savoir plus sur le sujet et mon approche, vous pouvez prendre rdv avec moi pour une séance découverte offerte, prendre contact via le formulaire de contact, ou m’appeler au numéro indiqué.
PS : dans les articles suivants (existants ou à venir suivant le moment où vous lisez cet article), vous trouverez des illustrations et des détails sur quelques thématiques que j’accompagne.
